Quels traitements médicaux pour les maux de tête ?

Il est courant de voir beaucoup de personnes se plaindre d’avoir des maux de tête. Les moins chanceuses supporteront même des douleurs qui deviennent chroniques. Ainsi, de nombreux traitements sur le court et le long terme existent.

Les antalgiques pour soigner les maux de tête

En cas de maux de tête, le réflexe sera souvent de prendre un antalgique. Une dose d’antidouleur permet de calmer la désagréable sensation. Cependant, la prise d’antalgiques non stéroïdiens peut entrainer un cercle vicieux. Le patient aura systématiquement mal à la tête s’il n’a pas pris la bonne dose d’antidouleur. De plus, l’organisme demande une augmentation de la quantité. L’accoutumance s’installe dès 6 à 8 prises par mois. Il faudra aussi boire beaucoup d’eau pour aider les reins et le foie à tout éliminer.

Le paracétamol et l’ibuprofène en priorité

Dans la plupart de maux de tête, le paracétamol reste le plus administré. Ce médicament existe sous plusieurs noms. Avec l’Efferalgan, il s’accompagne de vitamine C. Pour les jeunes patients, ce sera davantage le doliprane qu’il faudra prendre. Dans tous les cas, il faut 2 à 4 prises par jour sans jamais dépasser les 4g au quotidien. Le paracétamol est contre-indiqué en cas de souci hépatique ou rénal. L’ibuprofène reste une autre alternative. Il s’agit de l’anti-inflammatoire non stéroïdien bien connu. C’est à prendre au milieu des repas.

D’autres solutions médicamenteuses possibles

Lorsque le paracétamol ou l’ibuprofène ne suffisent plus, il est nécessaire de passer à un antalgique plus puissant. Les médicaments contenant de la codéine sont les plus recommandés. L’aspirine reste aussi une option possible. Si les maux de tête ne se calment pas avec ces solutions médicamenteuses, il faudra se poser des questions sur leur origine. Parfois, il s’agit d’un symptôme d’une maladie beaucoup plus grave. Cela peut être un problème oculaire, une hypertension ou un parasite dans le cerveau. Quoi qu’il en soit, il faudra traiter cette pathologie sous-jacente.

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