Dans la longue liste des maladies mortelles, les problèmes cardiovasculaires sont les premiers énoncés. Le domaine de la cardiologie s’intéresse principalement au fonctionnement du cœur et des vaisseaux tels que les artères et les veines. Généralement, ces soucis ne sont détectés qu’après l’apparition de symptômes. La plus grande erreur est d’attendre que les douleurs s’intensifient ou que la respiration s’avère difficile.
Recourir immédiatement à un traitement
Les problèmes cardiovasculaires s’aggravent en peu de temps, donc attendre qu’un miracle se produise est une erreur fatale. Dès que vous avez des douleurs abdominales, consultez un médecin et faites-vous examiner. S’il s’agit d’un souci mineur, votre médecin traitant vous proposera des solutions alternatives telles qu’un traitement léger. Par contre, si l’état de vos organes internes commence à devenir inquiétant, le même docteur généraliste vous redirigera vers un cardiologue spécialisé. Dans ce cas, votre premier traitement se consacre à changer de mode de vie, d’alimentation et d’habitude. Ce n’est qu’après un diagnostic approfondi, en passant par une auscultation cardiaque et pulmonaire, que le cardiologue peut vous prescrire soit une liste de médicaments, soit une chirurgie.
Les signes annonciateurs de l’AVC
Au lieu de deviner ce qui se passe dans le corps, apprenez à détecter les simples contractions musculaires et les débuts de soucis sanitaires. Dans la majorité des cas, les problèmes cardiovasculaires ne présentent aucun signe alarmant. Par contre, l’AVC est la première conséquence qui expose des complications externes. Tout commence par des douleurs au centre de la poitrine, puis dans le dos, les bras, le coude, l’épaule gauche et la mâchoire. Lorsque l’état du patient s’aggrave, les signes plus graves doivent alerter ses proches. L’engourdissement de plusieurs parties du corps telles que le bras, les jambes, le visage doit vous alerter de l’état grave dans lequel le malade est. Vous savez que les douleurs s’intensifient quand un seul côté du corps est totalement engourdi. Quand la maladie atteint un nerf relié au cerveau, le malade commence à avoir des difficultés à parler ou à comprendre. Les yeux ou un seul œil commencent à voir flou. Puis, les pieds ne répondent plus normalement. Marcher devient difficile et entraîne un déséquilibre total.